Pourquoi le SwaS révolutionne l’accompagnement digital ?

Spoiler alert : vous n’avez pas besoin d’un énième outil. Vous avez besoin de réussir.

Imaginez : vous venez d’investir dans une superbe plateforme de création e-learning. Interface moderne, fonctionnalités au top, promesses alléchantes. Trois mois plus tard ? Votre équipe pédago tire la tronche et vos modules ressemblent encore à des PowerPoint animés de 2005.

Familier ? Bienvenue dans le piège classique du SaaS !

SaaS vs SwaS : la différence qui change tout

Le SaaS (Software as a Service) : la belle promesse

Le principe ? « Voici notre super outil, débrouillez-vous maintenant ! »

  • Accès illimité ✅
  • Interface intuitive ✅
  • Tutoriels disponibles ✅
  • Résultats… variables ❓

Le SwaS (Software with a Service) : la réalité du terrain

Le SwaS combine la livraison de logiciels avec des services humains dédiés, incluant du conseil, du support, de la personnalisation, et bien plus encore.

En gros ? On ne vous lâche pas dans la nature avec votre nouveau joujou !

Chez Solunea, le SwaS c’est notre ADN (et voici pourquoi)

🤝 Parce que chaque client est unique

Quand Marie, responsable formation chez un grand groupe, nous appelle, elle n’a pas besoin qu’on lui explique toutes les fonctionnalités de Thaleia en détail. Elle a besoin qu’on comprenne pourquoi ses commerciaux boudent les formations obligatoires.

Notre approche SwaS ? On commence par l’écouter, on analyse son contexte, on identifie les vrais freins. Ensuite seulement, on adapte Thaleia à SA réalité.

📈 Parce que l’adoption, ça se construit

Les stats ne mentent pas : les solutions SwaS offrent des gestionnaires de compte dédiés pour vous donner un support approfondi tout au long de la durée du contrat.

Concrètement, ça donne quoi ?

  • Formation personnalisée de vos équipes
  • Accompagnement hands-on sur vos premiers projets
  • Optimisation et montée en compétences
  • Support expert et évolutions continues

🎯 Parce que le ROI, c’est ce qui compte

Un outil non utilisé = 0€ de ROI. C’est mathématique !

Avec notre approche SwaS sur Thaleia :

  • 95% de nos clients déploient effectivement la solution
  • Temps de création divisé par 3 en moyenne après 6 mois
  • Satisfaction utilisateurs : 4,8/5 (parce que oui, on mesure !)

SwaS en action : l’exemple qui tue

Le défi : Une PME de 200 personnes veut digitaliser ses formations sécurité. Équipe pédago = 1 personne (débordée). Appétence tech = proche de zéro.

L’approche SaaS classique : « Voici Thaleia, bon courage ! »

Notre approche SwaS :

  1. Audit : on analyse leurs besoins réels et leurs contraintes
  2. Quick wins : on crée ensemble leur premier module
  3. Formation : on monte en compétences leur équipe avec le nombre de sessions défini
  4. Templates : on leur fournit une bibliothèque adaptée à leur secteur
  5. Suivi : check-points réguliers et optimisations continues

Résultat ? En 4 mois, ils ont créé 12 modules interactifs et leurs formations sont devenues un vrai plaisir !

Les 5 pilliers du SwaS selon Solunea

1. L’écoute active

Avant de parler tech, on parle humain. Vos enjeux, vos contraintes, vos rêves (si, si !).

2. L’accompagnement progressif

Pas de noyade dans les fonctionnalités. On y va étape par étape, à votre rythme.

3. La personnalisation intelligente

Thaleia s’adapte à VOS processus, pas l’inverse.

4. Le support proactif

On anticipe vos besoins. Souvent, on vous appelle avant même que vous ayez un problème !

5. L’évolution continue

Vos besoins évoluent ? Thaleia et notre accompagnement aussi.

Alors, SaaS ou SwaS ?

Le SwaS émerge comme le modèle plus évolué et supérieur en conservant les avantages du SaaS tout en incorporant des services professionnels personnalisés.

Le choix est simple :

  • Vous voulez un outil ? → SaaS
  • Vous voulez réussir ? → SwaS

Et maintenant ?

Chez Solunea, on ne vend pas Thaleia. On vous aide à réussir avec Thaleia. Nuance !

Notre promesse ? Dans 6 mois, quand vous repenserez à votre projet de digitalisation, vous ne vous direz pas « Ouf, on a survécu ». Vous vous direz « Punaise, qu’est-ce qu’on était bons ! »

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